texte bouddhique

A MES AMIS
Un grand mal est toujours suivi d’un grand bien. Mais cela ne va pas de soi.

Il faut toujours du courage pour transformer le mal en bien.

Le temps est maintenant venu, pour chacun d’entre nous, de faire jaillir ce courage :

le courage de la non-violence, le courage du dialogue, le courage d’écouter ce que l’on préférait ne pas entendre,

le courage de stopper son désir de vengeance et d’être guidé par la raison.



GOSHO :
Quand moi, Nichiren, je lis les sûtras autres que le Sûtra du Lotus, je n'ai pas la moindre envie de devenir une femme.
Un sûtra condamne les femmes comme des émissaire de l'enfer. Un autre encore les compare à des arbres courbés et tordus.
Et il y a même un sûtra qui les décrit comme des personnes ayant brûlé les graines de la boddhéité.
C'est seulement dans le Sûtra du lotus que nous lisons qu'une femme qui pratique ce sûtra,
non seulement surpasse toutes les autres femmes, mais dépasse également tous les hommes.

"L'unité entre mari et femme" ( LTND, V, 178 )
amitié yves